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Partout Toujours 12 décembre 2021, 10:00

Olivier : "Mon premier souvenir, c'est le missile de Riise contre Bordeaux"

Olivier :  "Mon premier souvenir, c'est le missile de Riise contre Bordeaux"
Pour célébrer la présence systématique de nombreux supporters monégasques dans les parcages à l’extérieur, asmonaco.com poursuit sa série dédiée aux soutiens des Rouge et Blanc. Pour ce huitième épisode, partez à la découverte d'Olivier, alias @FM_Guru88, à Paris.

Vous le connaissez sans doute sous le pseudo de Guru, ou plutôt @FM_Guru88 sur Twitter. Il faut dire qu’Olivier Galle, la personne qui se « cache » derrière ce pseudo, est une référence dans le monde du gaming, puisqu’il est l’ambassadeur France pour Football Manager. Mais il est surtout un fervent supporter de l’AS Monaco, âgé de 33 ans, qui vit à Paris et qui est à l’honneur de notre nouveau numéro de « Partout Toujours » pour évoquer sa passion pour les Rouge et Blanc et nous donner, au passage, quelques conseils pour briller sur FM.

Je n'ai pas le souvenir d'un match en particulier mais plutôt de certaines actions. Evidemment il y a l'épopée de 2003-2004 en Ligue des champions, mais comme ça, le premier souvenir qui me revient en tête c'est le missile de John Arne Riise contre Bordeaux, en 2000.
OlivierSupporter de l'AS Monaco

Comment es-tu devenu supporter de l’AS Monaco en vivant à Paris ?

J’ai commencé à regarder du foot lors de la Coupe du monde 1998 avec mon grand-frère, qui a 5 ans de plus que moi et qui était déjà un peu supporter de l’AS Monaco. En plus, à l’époque nous n’habitions pas en région parisienne mais à côté de Grasse. Mon frère m’a donc transmis sa passion et les joueurs que j’ai le plus vite préférés en équipe de France étaient logiquement ceux de Monaco, à savoir Thierry Henry, David Trezeguet et Fabien Barthez. Depuis cette époque, j’ai donc toujours suivi le Club.

Quel est ton premier souvenir de l’AS Monaco ?

Je n’ai pas le souvenir d’un match en particulier mais plutôt de certaines actions. Evidemment il y a l’épopée de 2003-2004 en Ligue des champions, mais comme ça, le premier souvenir qui me revient en tête c’est le missile de John Arne Riise contre Bordeaux, en 2000. Les années précédentes, j’ai quelques souvenirs mais j’étais quand même petit et la passion s’est accentuée en grandissant.

En grandissant sur la Côte d’Azur, on imagine que tu as déjà pu venir au Stade Louis-II…

Alors étonnamment j’y vais plus maintenant que j’habite à Paris que quand j’étais à côté de Grasse. J’ai la chance d’avoir encore de la famille dans la région, donc je peux m’arranger plus facilement pour venir. Du coup j’ai plutôt tendance à effectuer les déplacements, notamment au Parc des Princes. Et dans un avenir très proche je vais essayer d’aller voir le 32e de finale de Coupe de France sur la pelouse du Red Star. Mais à mon grand regret, je ne peux pas venir aussi souvent que je le voudrais à Louis-II.

Quel est ton jour préféré dans l’histoire de l’AS Monaco ? Et dans l’effectif actuel ?

Thierry Henry ! C’est même mon joueur préféré tout court, donc comme ça c’est plus simple (rires) ! Et actuellement, ça vogue entre Sofiane Diop et Aurélien Tchouameni, les deux « pépites ».

Dans les premières saisons du jeu, Monaco a en tout cas largement de quoi faire avec l'effectif et les jeunes en place, avec les Matazo, Pavlović et tous ceux que Niko Kovac a déjà fait jouer à un moment donné. D'une manière générale, j'arrive à chaque fois à gagner la Ligue des champions avec l'AS Monaco, qui est le plus grand Club du monde, très loin devant les autres !
Olivier Supporter de l'AS Monaco

Es-tu un collectionneur de maillots de Monaco ?

Oui, j’en ai quelques-uns. J’ai fait floquer un maillot au nom de Falcao, et j’en ai aussi un dédicacé de Gabriel Boschilia. Depuis deux ou trois ans, je prends toujours le home et le away et cette année la commande pour les maillots de Sofiane Diop et Aurélien Tchouameni ne va pas tarder à partir (sourires).

En tant qu’ambassadeur Football Manager en France, tu n’a pas quelques tuyaux à nous donner pour briller avec l’AS Monaco ?

La majorité des mes parties, qui durent souvent très longtemps, sont à la tête de l’AS Monaco. Et la chance qu’on a au Club, c’est d’avoir un effectif de grande qualité en équipe première, mais également en réserve. Jusqu’à récemment, je m’efforçais, envers et contre tous, de faire percer Pietro Pellegri. Dans le jeu, j’y arrivais (rires) ! Dans les premières saisons du jeu, Monaco a en tout cas largement de quoi faire avec l’effectif et les jeunes en place, avec les Matazo, Pavlović et tous ceux que Niko Kovac a déjà fait jouer à un moment donné. D’une manière générale, j’arrive à chaque fois à gagner la Ligue des champions avec l’AS Monaco, qui est le plus grand Club du monde, très loin devant les autres !

Pour conclure, est-ce que tu penses que, comme la saison dernière, les Rouge et Blanc sont capables d’aller faire un coup au Parc des Princes ?

Je pense qu’il y a moyen, parce que Paris n’est pas forcément très convaincant collectivement et s’en sort grâce aux éclairs de génie de ses stars. Ils n’ont pas l’air imprenables. Mais nous sommes dans une bonne dynamique, donc il y a la possibilité d’aller les bousculer et accrocher quelque chose.

L’agence Triangle Interim de Gare de Lyon, à Paris : 

Rise. Risk. Repeat.